Un homme tué par la police à Corbeil-Essonnes
Sur Le Post, le procureur d'Evry affirme: "Il a braqué son arme sur les policiers. Ils l'auraient sommé de la baisser mais il ne l'aurait pas fait."
Un homme de 39 ans s'est fait tirer dessus par la police la nuit dernière à essonnes/" target="_blank" class="tag_auto">Corbeil-Essonnes (Essonne). Il est mort ce matin des suites de ses blessures.
Que s'est-il passé ?
"Cette nuit, vers minuit et demi, dans le quartier de la Nacelle, une femme appelle la police : 'Mon mari me bat, venez vite'. Les policiers arrivent, mais elle leur dit : 'Mon mari est parti, attention il est armé'", indique Jean-François Pascal, le procureur de la République d'Evry joint par Le Post.
"2 policiers restent avec elle, 2 autres partent à la recherche de l'homme. Les policiers le retrouvent quelques minutes plus tard. L'homme sort une arme et la braque sur les policiers", poursuit le procureur. "Ils le somment de baisser son arme mais a priori, il ne se serait pas exécuté. La police aurait tiré à 8 reprises."
Et ensuite ?
L'homme a été hospitalisé à la Pitié-Salpêtrière, à Paris. "Il est mort tôt ce matin", précise le procureur.
L'homme était connu de la police ?
"Il était connu pour des faits de violence", affirme le procureur. "On est en train de faire son profil."
Y avait-il des témoins ?
"A priori, pas de témoin", répond le procureur.
Quelles suites pour les 2 policiers qui ont tiré ?
Ils ont été placés en garde à vue à l'IGPN (Inspection générale de la police nationale), la police des police, selon une source proche du dossier.
Que s'est-il passé ?
"Cette nuit, vers minuit et demi, dans le quartier de la Nacelle, une femme appelle la police : 'Mon mari me bat, venez vite'. Les policiers arrivent, mais elle leur dit : 'Mon mari est parti, attention il est armé'", indique Jean-François Pascal, le procureur de la République d'Evry joint par Le Post.
"2 policiers restent avec elle, 2 autres partent à la recherche de l'homme. Les policiers le retrouvent quelques minutes plus tard. L'homme sort une arme et la braque sur les policiers", poursuit le procureur. "Ils le somment de baisser son arme mais a priori, il ne se serait pas exécuté. La police aurait tiré à 8 reprises."
Et ensuite ?
L'homme a été hospitalisé à la Pitié-Salpêtrière, à Paris. "Il est mort tôt ce matin", précise le procureur.
L'homme était connu de la police ?
"Il était connu pour des faits de violence", affirme le procureur. "On est en train de faire son profil."
Y avait-il des témoins ?
"A priori, pas de témoin", répond le procureur.
Quelles suites pour les 2 policiers qui ont tiré ?
Ils ont été placés en garde à vue à l'IGPN (Inspection générale de la police nationale), la police des police, selon une source proche du dossier.
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