UN PETIT TOUR CHEZ FRANCOIS

UN PETIT TOUR CHEZ FRANCOIS

Lui couper la patte

Au Moyen Âge et pendant la Renaissance, la croyance en le loup-garou était si répandue, sa définition si floue, qu'il n'était jamais très difficile de trouver des indices pour condamner, torturer et brûler des gens sans beaucoup de raisons. Le loup-garou se reconnaissait, croyait-on, à ses sourcils touffus, ses dents rouges, ses oreilles plantées bas; il lui poussait des touffes de poils dans le dos, son majeur était particulièrement long et son teint différait de la normale.Sa soif était inextinguible et il lui était quasiment impossible de verser des larmes. Pour le neutraliser, deux solutions : lui couper la patte ou l'appeler par son vrai nom. Lorsqu'il avait repris forme humaine, on devait s'adresser à lui comme loup-garou. Depuis cette époque, l'industrie cinématographique a exploité à fond le personnage du loup-garou, sur lequel elle a basé plusieurs films à succès. Hollywood a ajouté plusieurs détails à la légende bien vivante du monste : la transformation ne peut se faire qu'en période de pleine lune et le monstre ne peut être abattu qu'avec une balle d'argent...


10/10/2007
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